LDAP : la sécurité
J'ai maintenant un bel annuaire LDAP, il marche bien et contient, déjà, tout plein d'adresses mail, postales.
Et si, horreur, un vilain bug passant par là me faisait perdre toutes ces données ?
J'ai maintenant un bel annuaire LDAP, il marche bien et contient, déjà, tout plein d'adresses mail, postales.
Et si, horreur, un vilain bug passant par là me faisait perdre toutes ces données ?
Pour créer cet annuaire il faut installer des "paquets" suivants (pour Debian) :
La structure de notre annuaire sera simple :
Quelques mesures sur un SSD
Devant les différents points d'interrogation posés par les tests précédents j'ai décidé de faire d'autres tests encore plus près de "la vie réelle" en réalisant un petit exercice de compilation.
J'ai pris comme "cobaye" le logiciel IPERF dans sa version 2.0.4 et réalisé les opérations suivantes :
Deuxième test.
Devant ces résultats un peu théoriques j'ai essayé de faire d'autres mesures peut-être plus représentatives. J'ai donc mesuré le temps de "dézipper" et de "rezipper" les sources du noyau "linux-2.6.31.6.tar.gz" soit à peu près 79Mo zippés et # 380Mo dézippés.
Maintenant que notre annuaire est opérationnel il faut pouvoir nous en servir et l'intermédiaire le plus courant est tout bêtement votre programme de gestion des mails.
Il existe des interfaces permettant de consulter les annuaires LDAP et même des possibilités d'accès à cet annuaire par le Web, mais c'est une autre histoire.
Nous sommes plusieurs à la maison à travailler sur des machines différentes et régulièrement l'un demande à l'autre : "peux-tu me donner le mail (ou le téléphone) de X" (phénomène identique dans une petite structure professionnelle).
Il est donc intéressant de disposer d'un annuaire centralisé contenant l'ensemble des données de nos contacts.
L'installation et l'usage de quelques logiciels.
J'ai une vieille machine, pensez, plus de trois ans, je ne suis plus du tout dans la course. Il faut d'urgence faire quelque chose.
L'installation de la machine Linux étant terminée (et une image sauvegardée) on va pouvoir s'attaquer au plus gros : l'installation de Oracle avec ASM.
Il y a d'abord un certain nombre de pré-requis pour que l'installation se passe sans anicroches (les pré-requis et l'image Linux de base ont été "pompés" d'un autre article !).